Paris Fashion Week : le jeu des chaises musicales

La Fashion Week débute à Paris, les stars du monde entier ont rendez-vous au front-row des runways, c’est sûr, on est plein dans les tendances de l’année prochaine. Outre les grands stylistes classiques, de nouveaux noms font partie des rendez-vous incontournables. Et oui, vous les connaissez déjà !

Vous n’avez pas eu d’invitation pour les défilés de Chloé, Lanvin, Carven, Givenchy ? Il n’est peut-être pas trop tard. Dans tous les cas, faites votre maximum pour trouver une place sur les gradins, car si c’est noms sont loin d’être des nouveaux venus dans l’univers de la mode, ils comptent bien faire parler d’eux lors de cette nouvelle fashion week.

En effet, ces grandes maisons qu’on ne présente plus accueillent toutes de nouveaux directeurs artistiques. Et qui dit nouveaux venus dit forcément défilés très attendus ! Ainsi, du côté de Lanvin, Olivier Lapidus reprend les commandes après le départ de Bouchra Jarrar, resté à peine un an aux commandes. Depuis qu’Alber Elbaz n’est plus là, la marque connait une mauvaise passe. Espérons que le renouveau lui permette à nouveau de briller !

Du côté de la maison Carven, fondée en 1945, c’est à Serge Ruffieux qu’il faut faire confiance. Passé par Dior, ce designer suisse a tout pour développer la marque.

Les femmes ne sont pas en reste, en témoigne la nouvelle venue chez Cholé, Natacha Ramsay-Levi. C’est Nicolas Ghesquière lui-même qui lui a tout appris au sein de Balenciaga. Elle est passée par Vuitton après le départ de Clare Waight Keller (maintenant chez Givenchy) et l’on dit que son charisme naturel fera la différence. Geoffroy de la Bourdonnaye, PDG de Chloé, explique même « la personnalité d’un créateur est la meilleure indication de ce qu’ils pourront créer ».

Enfin, cette fashion week est peut-être l’occasion de voir renaître Guy Laroche de ses cendres. La maison parisienne, qui restera célèbre pour la célèbre robe que portait Mireille Darc dans « Le grand blond avec une chaussure noire », s’accorde les services de Richard René et compte sur son minimaliste pour faire la différence.

 

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